• Ô Succube

    Vous trouverez ce pseudo poème ici : Ô Succube.

    Si l'on écoutait les dire du plus catholique des catholiques, le préservatif ne protègerait pas du sida, il faudrait ne faire l'amour que pour avoir des enfants, la Terre serait au centre de l'univers et bla bla bla... Quoi de plus faux ! Rien mes amis, rien. Alors quand il dit que Dieu est la bonté incarnée et que le Diable est le Prince du Mensonge, que croire ? Et si c'était l'inverse ? Rien ne prouve l'existence de ces deux êtres pas plus que leur bonté ou méchanceté. Ainsi donc je me permets de croire ce que j'ai envie de croire, autrement dit, que tous les démons, s'ils existent vraiment (n'oubliez pas que je suis non croyant), ne sont pas nécessairement du mauvais côté. D'où ce "poème".

    Ici, il ne s'agit pas de voir la Succube comme un démon, ni comme un monstre mais comme une femme qui a des sentiments. Condamnée à obéir aux ordres de son maître, le Diable, et de ses clients, elle ne peut jamais suivre son libre arbitre, ce qui la rend malheureuse. Dès lors, elle va se mettre à haïr ce qui sont heureux et se forcer à aimer leur voler leur âme. C'est ainsi qu'elle devient mauvaise. Cette fois, on parle de mettre la Succube au même niveau que le client, à égalité avec lui, qui tient compte de son libre arbitre et lui laisse le choix et accepte de l'aimer pour ce qu'elle est.

    Voilà une bonne morale, ne pas se fier aux apparences et ne pas s'arrêter à la surface. Peut-être est-ce là la clé du bonheur ?


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