• Vous trouverez ce sketch ici : Le bleu.

    Ce sketch m'est venu en tête à force de jouer à Gears of War 1 & 2. Dans le 2, la nouvelle recrue Benjamin Carmine, commet des erreurs de débutant et son comportement dans le jeu, en tant qu'IA, s'avère parfois être drôle et incohérent, notamment quand il tire à l'aveugle avec son sniper. Quant au 1, son frère se fait tuer alors qu'il s'enrayait. Autant dire qu'avec un peu d'humour noir, le potentiel comique est là.

    Ainsi, j'ai rédigé ce texte avec des références à GoW2 et à Call of Duty Modern Warfare 2. Sa rédaction m'a bien plu et certains de mes amis ont particulièrement apprécié.


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  • vgamesVous trouverez cette nouvelle ici : VGames et le livret.

    Un jour où je me baladais sur un site consacré aux jeux vidéo, j'ai appris que certains éditeurs allaient tout simplement supprimer les livrets des jeux pour les remplacer par des livrets virtuels, en disant que c'était plus écologique. Dit comme cela, ça parait être une bonne idée, surtout quand on constate la teneur des livrets actuels (10 pages en comptant les première et quatrième de couverture, pour des infos que l'on a déjà en tutoriel dans le jeu ; avec l'absence regrettable de fiches personnages, armes et scénario ; seuls les RPG sortent du lot avec des livrets qui valent le coup).

    Seulement voilà, si l'on réfléchit bien, l'absence du livret permettra aux sociétés en question de faire nombre d'économies car ce n'est pas le disque du jeu qui prend le plus de place. Dès lors, on est en droit de se poser la question : puisqu'au final, le coût de production des jeux sera légèrement moins élevé qu'avant, bénéficierons-nous d'un rabais sur le jeu neuf ? Rabais que l'on est en droit d'attendre. Vous pouvez être sûr que non.

    Ce qui est triste, c'est que de nos jours on se sert de l'écologie pour faire des économies et pour gagner de l'argent. Voilà ce que dénonce ce texte.


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  • Vous trouverez ce pseudo poème ici : Ô Succube.

    Si l'on écoutait les dire du plus catholique des catholiques, le préservatif ne protègerait pas du sida, il faudrait ne faire l'amour que pour avoir des enfants, la Terre serait au centre de l'univers et bla bla bla... Quoi de plus faux ! Rien mes amis, rien. Alors quand il dit que Dieu est la bonté incarnée et que le Diable est le Prince du Mensonge, que croire ? Et si c'était l'inverse ? Rien ne prouve l'existence de ces deux êtres pas plus que leur bonté ou méchanceté. Ainsi donc je me permets de croire ce que j'ai envie de croire, autrement dit, que tous les démons, s'ils existent vraiment (n'oubliez pas que je suis non croyant), ne sont pas nécessairement du mauvais côté. D'où ce "poème".

    Ici, il ne s'agit pas de voir la Succube comme un démon, ni comme un monstre mais comme une femme qui a des sentiments. Condamnée à obéir aux ordres de son maître, le Diable, et de ses clients, elle ne peut jamais suivre son libre arbitre, ce qui la rend malheureuse. Dès lors, elle va se mettre à haïr ce qui sont heureux et se forcer à aimer leur voler leur âme. C'est ainsi qu'elle devient mauvaise. Cette fois, on parle de mettre la Succube au même niveau que le client, à égalité avec lui, qui tient compte de son libre arbitre et lui laisse le choix et accepte de l'aimer pour ce qu'elle est.

    Voilà une bonne morale, ne pas se fier aux apparences et ne pas s'arrêter à la surface. Peut-être est-ce là la clé du bonheur ?


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  • Vous trouverez ce pseudo poème ici : En traversant le manoir.

    Je dis pseudo poème parce qu'il ne s'agit pas vraiment de poésie. Comme l'a dit un de mes professeurs de littérature : "la poésie n'est pas l'art de dire mais l'art de suggérer". Or je ne suggère pas, je raconte, littéralement. Bien sûr j'ai conservé la rime.

    Pour ceux qui s'y connaissent en jeux vidéo, il ne sera pas difficile de deviner que ce texte est inspiré de Resident Evil premier du nom. Bien sûr, le "scénario" du poème diffère nettement avec celui du jeu original mais quoi de plus normal puisque je m'interdis, par honneur, toute forme de plagiat. Il est autorisé de s'inspirer mais pas de plagier.

    A l'origine, l'oeuvre devait contenir plus de strophes mais ces dernières devaient être plus courtes. J'ai fait cette modification pour mieux pouvoir jouer sur les sonorités rudes et qui ne vont pas toujours bien ensembles. C'est le but recherché ; après tout, il est hors de question de se sentir reposé après une telle lecture.


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  • Je vais vous expliquer en quelques mots comment les choses se passent ici.

    Mes textes ne seront plus publiés directement ici. A la place, je vous fournis un lien vous emmenant directement au texte de votre choix. Attention, il ne s'agit pas d'une astuce malhonnête pour vous faire cliquer sur un lien quelconque résultant en une action dont je serais le seul bénéficiaire.

    Mes textes sont publiés sur le site ILV (In Libro Veritas), un site permettant la libre écriture, lecture et diffusion d'une oeuvre, quelle qu'elle soit. Le lien de chaque oeuvre vous conduira sur l'une des pages du site où vous trouverez directement le texte en question.

    Ainsi, les seules choses à être publiées ici seront des éventuels commentaires de ma part.

    Bien entendu, chaque texte est protégé par la licence suivante : Creative Commons. Je vous conseille de lire attentivement la page communiquée par le lien précédent (ce n'est pas long) et vous demande de bien vouloir respecter mes droits sous peine de sanction.

    Sur ce je vous remercie d'avoir lu ce prélude et vous souhaite à tous une agréable lecture.


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